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mercredi 4 janvier 2012

Martinique 16-19 decembre

16 décembre. Après une halte parisienne de 48 heures avec Poupik, Mami et Nonna (ascension de la Tour Eiffel, promenade en bateau-mouche, Cité des Sciences et visite de la famille Windey-Custer, conformément au rendez-vous pris à Majorque au mois d’août…) et un vol transatlantique de 9 heures, Luca, Vadim et moi atterrissons à Fort-de-France. Les DOM-TOM, soit un morceau de France au bout du monde, où il fait chaud, humide, et où il est cinq heures plus tôt qu’à Paris.

Et puis… les retrouvailles, enfin!! Marc me parait plus beau, bronzé et heureux que jamais. Il nous pilote, comme s’il était ici chez lui, jusqu’à la marina du Marin où Panta Rhei nous attend, magnifiquement nettoyée, rangée, apprêtée pour l’occasion… Marc et moi dînons en tête-à-tête dans le resto de Mango Bay, à échanger nos impressions sur les cinq semaines écoulées en sirotant du rhum punch rose fluo, tandis que les enfants gisent, effrondés de fatigue, sur la banquette…

En guise d’acclimatation, nous passons deux jours sur place: nous redécouvrons rapidement le plaisir de nager dans la mer, de circuler en clapettes, de prendre le temps de flâner… et n’échappons pas au boudin créole, qui se déguste selon une technique très précise consistant à percer la peau d’un bon coup de dent puis sucer le contenu brunâtre et semi-liquide. Mouais. Les enfants en redemandent!

Dimanche 18, nous nous déplaçons jusqu’à la baie qui fait face au village de Sainte-Anne, juste à côté du Marin, où Marc a convenu de récupérer demain ce bon vieux Ian qui nous accompagnera jusqu’à Sainte-Lucie. Le village est minuscule mais charmant, une fête s’y prépare et nous dégustons le cocktail local (encore!) les pieds dans l’eau pendant que Luca et Vadim se font des copains sur la plage. A real taste of the Carribean…

Le lendemain nous passons à la mairie déposer les livres d’école dont nous n’avons plus usage (dernière étape francophone du voyage avant longtemps, il faut en profiter) puis embarquons Ian pour traverser vers Sainte Lucie. La navigation, d’une trentaine de milles, est tranquille et l’arrivée dans la baie de Marigot se fait, selon les usages, sous escorte de jolis bateaux en bois (la plupart aux couleurs rasta), qui tentent tous de nous vendre quelque chose: fruits, poisson, emplacement à une bouée… et même une demande en mariage!





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